Depuis l’accord de Vienne sur le nucléaire iranien, conclu en 2015 avec les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU (Etats-Unis, Chine, Russie, France, Royaume-Uni) plus l’Allemagne, l’Iran semble être devenu un « El Dorado » pour les entreprises françaises des secteurs de l’automobile, de l’énergie et du high- tech.

De nombreux exemples témoignent de ce constat. Prenons le cas de Renault qui a signé un marché de 660 millions d’euros pour produire 150 000 voitures par an en Iran. Ce n’est que le début pour le constructeur automobile français, puisqu’il vise 20 % du marché iranien d’ici 2020. Du côté du constructeur aéronautique Airbus, après la vente de 100 avions, une négociation est en cours pour la vente de 48 hélicoptères à usage civil.

Sur l’année 2016, Téhéran a signé plusieurs contrats d’une valeur d’environ 30 milliards d’euros, lors de la visite du Président Rohani en France.

Les liens commerciaux entre l’Iran et la France devraient encore progresser et se renforcer suite à la récente réélection du Chef d’Etat iranien.

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